La technologie financière, une exploitation bancaire qui se développe pour optimiser les marges de ses exécuteurs. Pourquoi tout le monde en parle beaucoup maintenant ? Qu’est-ce que ça apporte au consommateur ?

Les FINTECHs sont venues après le crash de 2008-2009, ce crash a été suivi par une sur régulation abondante qui a créé un vide ou une envie de certains banquiers de se créer une zone grise parce que la zone régulée leurs empêchait d’avancer.

Quand le produit de la boite est la boite même mais pas ce qu’elle fait, ce qui importe le plus c’est l’exit, c’est-à-dire l’argent qu’elle se tire à la fin. Quand on oublie qu’il y a un consommateur, on voit plusieurs activités bancaires qu’on essaye de transférer chez le client une partie du boulot. A chaque fois que le client agisse, la FINTECH se fait du fric. Mais ça marche ! Parce que la satisfaction client est là ! Elle est bien enrobée, bien amenée. Quand on utilise son ATM par exemple, on est fier de ne pas faire la queue au guichet, mais le banquier se fait des marges. Et puis maintenant évidement on est allé plus loin : on a une banque, internet, mobile banking ; On fait tout par un internet, c’est facile, mais le banquier se fait des marges également. C’est des algorithmes qui gèrent nos vies.

Quand le consommateur va prendre le programme c’est que ça va causer des problèmes aux autres ; aux commerçants, aux intermédiaires. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’on essaye de le bombarder par les services numériques à fin de créer, et ce répétitivement, chez lui un besoin de consommation, un besoin de dépendance à la technologie…